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  • Menaces sur les personnes en situation de handicap employant une aide humaine !

    Le Comité d’Entente vient d’interpeller en urgence Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes et Myriam El Khomri, ministre du Travail, de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social.

    En effet, la rémunération d’une catégorie d’aides humaines doit être revue à la hausse. C’est un accord qui a été concerté sans les associations de personnes en situation de handicap et ceci depuis plusieurs années. Il était important de faire évoluer la situation salariale des assistantes de vie, en particuliers celles qui interviennent auprès des personnes les plus vulnérables. Pour autant on ne pouvait d’une part faire évoluer l’accord de classification et d’autre part ne pas tenir compte des contraintes qui pesaient et qui vont peser sur les particuliers employeurs en situation de handicap. Cet accord va concerner toutes les personnes en situation de handicap qui emploient des assistantes de vie.

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  • Convention FEPEM : le Comité d’entente interpelle le Premier ministre

    Le Comité d’entente vient d’interpeller dans un courrier Manuel Valls concernant les enjeux de la convention FEPEM et donc la situation des particuliers employeurs en situation de handicap qui bénéficient de la PCH (prestation de compensation du handicap) en emploi direct.

    En effet, les bénéficiaires de cette modalité de PCH qui rencontrent déjà des difficultés vont encore les voir s’aggraver du fait de l’extension en cours d’un nouvel accord de classification, signé le 21 mars 2014 entre la FEPEM (Fédération des particuliers employeurs) et les organisations syndicales de salariés.

    Si cet accord est étendu par le ministère du travail sans revalorisation du tarif actuel de la PCH en emploi direct, la situation des particuliers en emploi direct va connaitre une très nette dégradation : restes à charges insoutenables pouvant potentiellement entraîner des licenciements voire l’obligation de devoir quitter son domicile si d’autres alternatives à l’emploi direct n’existent pas sur le territoire ou ne sont pas disponibles pour la personne. Ces situations risquent de toucher plus durement encore les personnes les plus dépendantes dont les besoins en aide humaines sont les plus importants.

    Les associations du Comité d’Entente demandent au gouvernement ce qu’il compte faire pour y remédier.

    Pour lire le courrier, cliquez ici

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